Vous êtes ici : Accueil > Les clarysiennes et les clarysiens > Nicolas Champagne > Nicolas Champagne, enfance
Publié : 1er juin 2021

Nicolas Champagne, enfance


J’ai toujours habité à Clary, j’ai toujours habité dans cette maison, ici. Je n’ai jamais déménagé. Cela fait donc 28 ans que je suis ici, je suis né en 92. A l’école j’ai fait toutes mes années à Clary, que ce soit en maternelle ou à l’école primaire.

L’école maternelle

J’étais dans l’ancienne école maternelle devant la salle polyvalente, une école en préfabriqué qui est détruite maintenant. L’école maternelle actuelle a ouvert quand je suis parti à l’école primaire qu’on connait.

Le petit garçon avec le beau pull, c’est Nicolas, la maîtresse, c’est madame Claudine Zoia

J’ai eu madame Caille et madame Vercruys à l’école maternelle, et à l’école primaire Madame Zoia en CP CE1 et puis des maîtresses qui ne sont pas restées longtemps à Clary, des femmes très bien aussi.
Après je suis parti au collège à Walincourt, de la 6eme à la 3eme.

Le judo à Bertry

Je faisais du judo à Bertry à ce moment-là, j’en ai fait pendant quatre ans, les entraînements et les compétitions. Après je n’ai plus eu le temps. Je commençais à m’intéresser à la ferme, et le moindre moment que j’avais, j’étais à la ferme. Déjà du temps de l’école primaire, j’y allais un petit peu, même si je n’avais pas le physique pour y travailler. J’ai toujours été là-dedans.

Ma mère est musicienne, elle a voulu me faire apprendre le tambour, puis la trompette, mais cela ne m’a jamais plu, même si ca lui tenait à cœur. Ma maman joue de beaucoup d’instruments à vent, de la trompette, du tuba… Elle jouait dans l’harmonie de Maretz, elle a même été directrice et chef d’orchestre pendant plus de trente ans, et dernièrement elle a décidé d’arrêter, cela fait trop de travail. Maintenant elle est simple musicienne dans l’harmonie de Bertry. Elle aime les petites structures musicales.

Elle est aide-soignante à la clinique du Cateau. C’est une femme dévouée qui adore son métier, elle a choisi de travailler toujours de nuit pour pouvoir s’occuper de nous.

Une mère comme elle, tout le monde en rêve !

Le mercredi après-midi, le samedi, j’allais passer un peu de temps à la ferme. Ça s’est transformé en passion et en passe-temps.
J’étais bon élève, ça se passait bien à l’école, j’avais de bons résultats mais je n’étais pas passionné par ça.
Je suis allé au lycée Fénelon à Cambrai, un lycée général où j’ai fait ma seconde et une première scientifique. Là j’aurais pu continuer, mais la formation ne me plaisait vraiment pas, alors je suis revenu en première technologique agricole (STAV – sciences et technologie de l’agronomie et du vivant). Je suis parti au lycée de Wagnonville, à Douai, où ça s’est très bien passé.

J’ai eu mon bac avec mention et ensuite je suis parti à l’institut agricole Saint Eloi à Bapaume où j’ai fait un BTS « génie des équipements agricoles », dans les machines.

2. Travail 1 : l’entreprise